𝐋𝐚𝐲𝐥𝐚

« Layla » est un roman de Colleen Hoover édité chez Hugo New Romance.

Note : Bonne découverte !

♦ Résumé :

Lorsque Leeds fait la connaissance de Layla lors du mariage de la sœur de la jeune femme, c’est le coup de foudre. L’alchimie est parfaite entre eux. Ils s’aiment tout simplement.

Mais leur belle histoire va vite tourner au drame lorsque Layla est grièvement blessée par arme à feu.

Elle se remet lentement et lorsqu’elle sort de l’hôpital, Leeds lui propose de séjourner dans le lieu de leur rencontre, là où tout a commencé. Son atmosphère paisible sera parfaite pour la jeune femme encore fragile et leur permettra se retrouver.

Car Layla a changé. Sans doute à cause de ce qui s’est passé.

Mais loin d’apporter à Leeds la sérénité qu’il attendait, cet endroit le trouble. Il s’y produit des évènements étranges, qui remettent en cause toutes ses certitudes. Sur Layla et sur qui elle est vraiment.

♦ Avis :

Nous ne l’avions pas acheté lors de sa sortie en grand format parce que ce roman nous faisait peur. Mais cette année, nous avions envie de le découvrir après tous les bons avis vus. Et ce fut une très bonne découverte. Une lecture déstabilisante.

Premièrement, on a adoré plonger dans un roman différent des romances contemporaines. En effet, nous retrouvons des personnages dans un environnement paranormal (on vous avoue qu’on mourrait de peur au début). Avec ce récit, on est sorties de notre genre de prédilection et on vous avoue qu’on a beaucoup aimé exploré un autre univers mystérieux.

L’histoire est intrigante et nous a donné envie d’aller jusqu’à la fin de l’histoire pour avoir le fin mot de l’histoire. Colleen Hoover sait nous interroger dès les premières lignes du roman, nous donner envie de continuer pour découvrir ce qu’elle cache sous cette histoire. Juste un petit bémol, c’est que dès que les explications arrivent vers la fin du roman, certaines choses nous ont paru un peu farfelues.

En ce qui concerne les personnages, Colleen Hoover arrive à nous faire ressentir de la compassion pour Layla alors même que c’est le personnage masculin qui est le plus mis en avant. Layla est une femme enjouée jusqu’à son accident. Puis, elle est devenue différente. L’auteure arrive à nous faire ressentir toutes ces panoplies de sentiments, de comportements changeants. Quant au personnage masculin, on a malheureusement moins été embarquées par lui. Bien qu’il est au centre de l’histoire, nous avons eu du mal à comprendre ses agissements. Surtout ses actions envers Layla.

Comme vous pouvez le voir, nous n’avons pas fait une chronique comme les autres tout comme ce livre n’est pas le genre de prédilection que nous avons l’habitude de lire et « critiquer ». Pour autant, on ne peut que vous conseiller ce roman si vous voulez sortir de votre zone de confort !

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𝗧𝗿𝗼𝘂𝗯𝗹𝗲𝗺𝗮𝗸𝗲𝗿

« Troublemaker » est un roman de Alfreda Enwy édité chez Hugo New Romance.

Note :  ♥♥♥♥♥/5

♦ Résumé :

Jun et Hazel habitent dans le même immeuble et sur le même palier mais n’ont pas grand-chose en commun.

La jeune femme est loin de se douter que son voisin est particulièrement dangereux et que son métier consiste à rendre une justice tout à fait personnelle, en recherchant des criminels qu’on lui désigne et en les exécutant si c’est la seule façon de rendre justice.

Hazel a une vie bien plus ordinaire et elle va se comporter en bonne voisine, accueillante et prête à lui rendre service en gardant le chat de Jun ou en l’aidant à se soigner quand il rentre blessé, après sa journée de  » travail « .

Jun n’a jamais eu de relation suivie avec une femme. Mais Hazel le trouble ainsi que la vie simple qu’elle lui fait entrevoir. Elle le sort de sin chemin si rectiligne, elle est sa petite fauteuse de trouble, sa trouble maker.

Que risque-t-elle à se rapprocher d’un tel homme et comment réagira-t-elle lorsqu’elle apprendra ce que cache son regard impénétrable ?

♦ Avis :

Ce roman fait partie des romans qui nous tiennent en haleine du début jusqu’à la fin. C’est le genre de roman qu’on n’arrive plus à lâcher et qui nous fait comprendre pourquoi on aime tant la lecture et surtout, la romance. Troublemaker n’est pas une dark romance, mais une romance assez sombre avec des scènes parfois très hard niveau torture, soyez informés.

On y retrouve deux personnages : Jun et Hazel. Jun est troublant, sombre à souhait, mystérieux et la définition même du mec flippant. Mais à côté il est aussi protecteur et charismatique. On a détesté l’adorer parce que quelqu’un d’aussi sombre ne devrait pas nous plaire, mais nous dégoûter. Pourtant, on n’a rien pu faire : on a succombé à son charme et on s’est laissé aller entre ses filets. Quant à Hazel, elle est son total opposé : douce, bienveillante, gentille, attentionnée et innocente. On a adoré nous retrouver en elle, on a aimé sa personnalité haute en couleur et en femme qui ne se laisse pas marcher dessus.

« – Tu fais des gâteaux chaque fois que tu veux t’excuser ?

– En quelque sorte…

– Quelle drôle d’idée, lance Jun d’un air exaspéré.

– C’est sûr que si tu devais faire un gâteau à chaque fois que tu joues les connards, à l’heure qu’il est, tu serais un chef pâtissier reconnu dans le monde entier. »

– Alfreda Enwy

Un remake de la belle et la bête ? On pourrait presque dire ça sauf que la bête ne se transforme pas vraiment en prince charmant. La romance entre Hazel et Jun est explosive et pleine de tension. Vous nous connaissez maintenant et vous savez à quel point on aime que la tension monte crescendo entre les personnages et quand le personnage masculin protège l’héroïne. Ici on a été totalement charmées par cela et par la relation presque impossible entre eux. Pourtant, l’amour ne se décide pas. Ce qu’on doit également noter, c’est le fait que Jun ne perd jamais sa noirceur. Il ne devient pas niais, non cette noirceur a grandi avec lui et fait partie de lui.

« – Le seul danger, c’est toi. C’est quoi le…

– Tu as raison, me coupe-t-il. Et c’est une chose que tu ferais mieux de garder en tête. Je suis dangereux, Hazel. Et même si tu t’approches de la vérité, tu n’as pourtant aucune idée de ce dont je suis capable. Si tu avais été plus maligne, tu m’aurais craint un peu plus fort encore. Cette situation est entièrement ta faute.

– Ma faute ?

Ma voix est hystérique.

– La tienne oui, gueule-t-il plus fort que moi. Parce que tu es une fauteuse de troubles. »

– Alfreda Enwy

Pour finir, c’était notre premier roman de Alfreda Enwy et on peut vous dire que ce ne sera sûrement pas le dernier. On ne peut que vous demander de foncer lire ce roman et plonger dans ce mélange de noirceur et d’amour.